Dans le détail :

La qualité relativement dégradée de l’eau sur le début de la période s’explique par les mauvaises conditions observées tout au long du mois de mai, et par le cumul de précipitations exceptionnelles des derniers mois. Le fort débit du fleuve, qui ne favorise pas une bonne qualité de l’eau, est aussi le fruit de cette météo très pluvieuse.
À partir du 3 juin, on observe une amélioration progressive de la qualité de l’eau, à rapprocher de l’amélioration des conditions météorologiques (fin des précipitations, ensoleillement beaucoup plus important en intensité et en durée). Par ailleurs, même s’il reste élevé pour la période, le débit du fleuve a entamé une baisse progressive en passant de 475 à 337 m³ / s entre le 1er et le 9 juin).
La hausse du taux d’E. coli le 5 juin, notamment en entrée de Paris sur le point de prélèvement du futur site de baignade « Bercy » s’explique par une pollution en amont de Paris.

Conseiller·ère·s métropolitain·e·s