Lieu

Promenade du Cours la Reine

statue en bronze au premier plan
Pours information, à l'issue des Jeux Olympiques, les espaces du Cours la Reine sont rénovés. Pour information, programmation début 2025, réfection des pelouses et de l'arrosage automatique. Merci de votre compréhension. 
Pours information, à l'issue des Jeux Olympiques, les espaces du Cours la Reine sont rénovés. Pour information, programmation début 2025, réfection des pelouses et de l'arrosage automatique. Merci de votre compréhension. 

Horaires

Du 27/10/2024 au 28/02/2025
Sélectionner une autre période
Lundi
  • 24/24 h 
Mardi
  • 24/24 h 
Mercredi
  • 24/24 h 
Vendredi
  • 24/24 h 
Samedi
  • 24/24 h 
Dimanche
  • 24/24 h 

Sur place

Services
  • Jardin sans tabac
Infos pratiques
  • Toilettes : non
  • WIFI : non
  • Table à langer : non
  • Distributeur de boisson : non
  • Admission animaux : oui chiens autorisés dans les allées et tenus en laisse
  • Défibrillateur : non
Labels et démarches

En savoir plus

Un peu d'histoire

Créé en 1616 par Marie de Médicis, reine de France.
Au XVIIe siècle se trouvaient ici jardins et exploitations maraîchères. La mode de la promenade se développant entre les Tuileries et Chaillot, Marie de Médicis (1575-1642), reine de France de 1600 à 1610, s’y réserve un passage ombragé en faisant planter en 1616 ce qui devient le Cours la Reine. Ainsi, il allait des Tuileries jusqu’au niveau de la place de l’Alma actuelle. Entouré de fossés et fermé par des portails, il était destiné à la promenade à cheval et en carrosse.  Dès 1918, la partie comprise entre les ponts des Invalides et de l’Alma est rebaptisée du nom d’Albert 1er (1875-1934), roi des Belges. La promenade est réaménagée en 1927 avec des alignements de marronniers plantés en quinconce.

Un espace mémoriel

Trois statues équestres jalonnent aujourd'hui le Cours la Reine : un bronze du roi Albert 1er, pour son rôle durant la Première Guerre Mondiale, par Armand Martial (1938) ;  le Monument du Corps expéditionnaire russe engagé en France au cours de la Première Guerre mondiale de 1916 à 1918, inauguré en 2011 et réalisé par Valdimir Sourovtsev ; un autre en hommage à Simon Bolivar « libérateur de l’Amérique latine » par Emmanuel Frémiet (1933) et un de La Fayette à cheval, “Ami de l’Amérique, Compagnon d’armes de Washington, Soldat de deux patries”, par le sculpteur américain Paul Wayland Bartlett (1908), ancien élève de Frémiet.