Lieu

Jardin Federica Montseny

Du 1/7 au 8/9, le jardin sera exceptionnellement ouvert de 7h à 00h
Du 1/7 au 8/9, le jardin sera exceptionnellement ouvert de 7h à 00h

Horaires

Du 01/05/2024 au 31/08/2024
Sélectionner une autre période
Lundi
  • Horaires du 01/07 :
    07h00 - 23h59
    Horaires habituels :
    08 h 00 – 20 h 30
Mardi
  • Horaires du 02/07 :
    07h00 - 23h59
    Horaires habituels :
    08 h 00 – 20 h 30
Mercredi
  • Horaires du 03/07 :
    07h00 - 23h59
    Horaires habituels :
    08 h 00 – 20 h 30
Jeudi
  • Horaires du 04/07 :
    07h00 - 23h59
    Horaires habituels :
    08 h 00 – 20 h 30
Vendredi
  • Horaires du 05/07 :
    07h00 - 23h59
    Horaires habituels :
    08 h 00 – 20 h 30
Dimanche
  • 09 h 00 – 20 h 30
Fermetures ou horaires exceptionnels :
  • Du 01/07/2024 au 08/09/2024 - Ouverture nocturne estivale

Sur place

Infos pratiques
  • Toilettes : non
  • WIFI : non
  • Table à langer : non
  • Distributeur de boisson : non
  • Admission animaux : oui Chiens tenus en laisse dans les allées
  • Défibrillateur : non
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Découvrir

En savoir plus

Ce petit jardin de la place Louis Armstrong surprend par sa végétation foisonnante. Vous y découvrirez des plantes vivaces (géraniums, lavatères), des arbustes à floraisons particulièrement décoratives (rosiers, potentilles, hibiscus et spirées) et des arbres à floraison estivale (lilas des Indes).
Il est une étape de la Voie de la Libération suivie le 24 août 1944 par les soldats de la 2e DB du capitaine Dronne. Ils étaient majoritairement Républicains espagnols. Federica Montseny Mañé, elle-même espagnole, est née à Madrid en 1905. Écrivaine, militante anarcho-syndicaliste, engagée pour les droits des femmes et l’éducation populaire, elle devient ministre de la Santé et de l'Assistance Sociale de la République Espagnole (1936-1937). Première  femme ministre en Europe, elle démocratise l’accès aux soins, légalise l’avortement et organise l’aide à la population durant la Guerre d’Espagne. En février 1939, fuyant les armées fascistes lors de la Retirada, elle franchit les Pyrénées à pieds pour se réfugier en France. À la Libération, elle s’installe à Toulouse. Elle y continue la lutte contre le franquisme et pour les valeurs de progrès jusqu’à son décès en 1994.