Lieu

Jardin Jean-Michel Rosenfeld (Carré de Baudoin)

Horaires

Du 01/05/2025 au 31/08/2025
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Lundi
  • 08 h 00 – 20 h 30
Mardi
  • 08 h 00 – 20 h 30
Mercredi
  • 08 h 00 – 20 h 30
Jeudi
  • 08 h 00 – 20 h 30
Samedi
  • Fermé le 03/05
    Horaires habituels :
    09 h 00 – 20 h 30
Dimanche
  • 09 h 00 – 20 h 30
Fermetures ou horaires exceptionnels :
  • Le 03/05/2025 - En raison de forts orages avec des rafales entre 60 et 80km/h, les parcs et jardins sont fermés à partir de 16h30 et pour le restant de la journée.

Sur place

Équipement
  • Points d'eau potable
  • Aire de jeux
Infos pratiques
  • Toilettes : non
  • WIFI : non
  • Table à langer : non
  • Distributeur de boisson : non
  • Admission animaux : non
  • Défibrillateur : non
Labels et démarches

Découvrir

En savoir plus

Ce jardin public offre des espaces de détente et de jeux entourés de verdure, certains à l’ombre de grands arbres aux couleurs admirables au printemps et à l’automne : pommiers décoratifs, érables, noisetiers, un marronnier au centre et un cèdre particulièrement remarquable.
C'est le jardin du Carré de Baudoin. Abritant, au 18e siècle, une maison de plaisance appelée « folie », ce lieu fut un temps la propriété de Nicolas de Baudouin (1695-1773) dont il garde le nom. Au 19e siècle, les frères Edmond (1822-1896) et Jules (1830-1870) de Goncourt, écrivains et historiens, le premier étant fondateur de l’académie et du prix littéraire du même nom, passent leur jeunesse en ce lieu devenu maison de famille. En 1852, la congrégation religieuse des Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul y installe “l’Asile des petits-orphelins” qui fermera en 1971. Il est remplacé par un centre médico-social et un foyer de jeunes travailleurs. L’ensemble est réhabilité en 2004 par la Ville de Paris devenue propriétaire. Le jardin devient public en 2005 tandis que le pavillon Carré de Baudouin est transformé en centre de création contemporaine.
En 2025, le jardin prend le nom de Jean-Michel Rosenfeld (1934-2023), rendant ainsi hommage à l'élu du 20e arrondissement, socialiste engagé notamment collaborateur du Premier ministre Pierre Mauroy en 1981. Passionné de culture, curieux et érudit, il a rendu vivant le devoir de mémoire : montage au mur des Fédérés, hommage au groupe Manouchian, ou encore rassemblement annuel de l'Union des anciens déportés juifs d'Auschwitz.