Comment participer à la végétalisation de la ville ?
Service
Mise à jour le 17/05/2022
Attention, cet article n'a pas été mis à jour depuis le 17/05/2022, il est possible que son contenu soit obsolète.
Sommaire
Développer la biodiversité, rafraichir l’atmosphère et créer une ville agréable à vivre ? C'est possible en jardinant sur son balcon, en végétalisant sa rue ou sa cour d’immeuble, ou en créant un jardin partagé ou pédagogique. Suivez tous nos conseils et découvrez les dispositifs pour devenir de parfaits jardiniers citoyens.
La place du végétal n'est pas seulement réservée aux jardins : une placette, un mur ou un recoin au potentiel inexploité peuvent constituer un projet de végétalisation. La végétalisation de l’espace public s’inscrit dans la recherche de réponse aux divers enjeux environnementaux : qualité de l’air, continuités écologiques et renforcement de la biodiversité, infiltration naturelle des eaux pluviales, ombre et rafraîchissement de la ville…
Végétaliser, c’est aussi l’occasion de rendre la ville plus agréable et plus accueillante, propice aux circulations douces et aux balades, et de continuer à faire de nos rues des lieux de projets citoyens et pédagogiques.
Tour d'horizon de tout ce que vous pouvez faire…
Le permis de végétaliser pour jardiner dans l'espace public
Le permis de végétaliser est un dispositif lancé en 2015 afin de permettre à chacun de jardiner sur l'espace public.
Que vous vouliez fleurir un pied d'arbre ou une jardinière sur l'espace public, votre projet doit faire l'objet d'une demande de permis de végétaliser.
De la même façon, vous pouvez également demander à végétaliser une fosse de plantation après «Débitumage» (suppression du revêtement du trottoir à l’emplacement du projet), mais ce type de projet, plus contraignant, requiert des conditions particulières.
Que vous vouliez fleurir un pied d'arbre ou une jardinière sur l'espace public, votre projet doit faire l'objet d'une demande de permis de végétaliser.
De la même façon, vous pouvez également demander à végétaliser une fosse de plantation après «Débitumage» (suppression du revêtement du trottoir à l’emplacement du projet), mais ce type de projet, plus contraignant, requiert des conditions particulières.
Favoriser la biodiversité sur votre balcon
Chez vous, balcon, terrasse ou rebord de fenêtre sont autant de lieux susceptibles
d’accueillir des projets de végétalisation et d’opportunités d’y
installer un coin de nature.
Privilégiez, dans le cas des rebords de
fenêtre, un mélange de plantes retombantes à d’autres au port compact et
des espèces adaptées à l’ensoleillement du lieu choisi, tout au long de
la journée. Installez, enfin, des jardinières écologiques mêlant
plantes mellifères attractives pour les insectes pollinisateurs
(papillons, abeilles…) et des abris susceptibles d’attirer des insectes
auxiliaires pour le jardinier.
Pour vos balcons et terrasses, recyclez boîtes, bassines, bidons, seaux, sacs…. Tous les contenants font l’affaire, dès lors qu’ils résistent à l’eau. Une hauteur de 15 cm est nécessaire pour les plantes annuelles et de 40 cm pour les arbustes et légumes. Pensez à percer le fond pour éviter l’accumulation d’eau et le pourrissement des racines.
Choisissez enfin des espèces adaptées au milieu sec et peu exigeante en eau (comme le sedum, le thym, la menthe, le romarin…) et paillez la terre.
Vous pouvez aussi fixer des canisses sur le garde-corps pour faire écran au soleil et au vent.
Végétaliser la cour de votre immeuble
Que vous soyez sur l'espace public ou en propriété privée, une cour d’aspect très minéral ou un petit coin de jardin peuvent
devenir à peu de frais un havre de verdure, un lieu d’échanges et de
convivialité.
C’est également une opportunité de se rapprocher de ses
voisins, en créant avec eux un petit jardin potager et/ou d’ornement,
dont tous profiteront.
Si votre projet se situe sur la voie publique et en fonction de son ampleur, vous aurez besoin d'autorisation.
S'il est sur une propriété privé, vous aurez besoin de l'accord des propriétaires.
Mais concernant son aménagement, les règles sont sensiblement les mêmes.
Aménager un mini jardin
Utilisez des contenants simples pour vos plantations : pots en terre ou en plastiques, bacs en bois ou autres objets recyclés (bidons, seaux à charbons, tuyaux de cheminées…), sans oublier d’y ménager un trou au fond pour l’évacuation de l’eau.
Prévoyez un minimum de 20 cm de profondeur pour les plantes annuelles, bisannuelles, les légumes ou les vivaces à petit développement et d’au moins 40 cm pour des vivaces plus grandes, des plantes aromatiques ou des petits arbustes. Placez sur le fond, si possible, une couche d’argile expansée et un feutre de jardin, qui laissera passer l’eau mais retiendra la terre.
Jardiner hors-sol
Essayez-vous au jardinage en carrés : le module de base est un carré de 1,20 m de côté, subdivisé en petits carrés de 30 cm de côté, contenant chacun une culture. Les quantités cultivées sont faibles, le travail est facile, et le résultat est toujours attrayant ! Si l’espace disponible est restreint, on peut faire un carré de 90cm X 90cm, ou de 60cm X 60cm.
Le matériel nécessaire
La liste du matériel nécessaire est restreinte et peu onéreuse.
Prévoyez :
- une terre adaptée. Apportez de la terre de jardin. Vous devrez toutefois l’alléger et la rendre plus facile à travailler : un bon mélange peut être constitué de 30 % de terreau de feuilles, 20% de compost, 45% de terre, et 5% de billes d’argile expansée ou de vermiculite.
- de l’eau. Vérifiez que l’évacuation de l’eau en excès se fait bien, sous le robinet et sous les bacs de culture. Si la cour est sur dalle (il y a une cave en dessous), vérifiez qu’il n’y a pas de problème d’étanchéité. Vous arroserez peu mais souvent.
- des outils. Un transplantoir, un arrosoir, un couteau et… un panier pour les récoltes !
- du treillis. Un treillage solide monté sur un cadre permettra aux plantes grimpantes de se développer.
- des amendements et engrais organiques. Des plantes cultivées dans peu de terre demandent une nourriture riche. Utilisez des engrais naturels comme la poudre d’algues marines, la corne torréfiée, la poudre d’os, la farine de plumes… Et du compost en sacs, ou encore des engrais organiques liquides, à incorporer par petites doses.
Le choix des espèces
Privilégiez les espèces sauvages (régionales ou françaises) et les plantes utiles aux insectes afin de favoriser la biodiversité. La plupart des fruits, légumes et plantes aromatiques peuvent être cultivés, dans le cadre de l’agriculture urbaine, en jardinière ou dans des contenants recyclés.
L’association de certaines plantes préserve les cultures du potager de nombreux insectes indésirables ou ravageurs. Vous trouverez ci-dessous un lien vers une liste (non exhaustive) de plantes, avec leurs affinités et leurs antagonismes.
Suivant vos contraintes, certaines espèces sont plus adaptées
- avec peu de terre : basilic, betterave, mini-carottes, céleri-branche, chicorée frisée, chou de chine, coriandre, estragon, laitue à couper, mâche, origan, persil, poivron, radis, roquette, sauge…
- avec peu de lumière : bambous, bégonia tubéreux, bettes, laurier, céleris branches, cerfeuil, choux, ciboulette, cresson alénois, crocus, échalote, estragon, fougères, fuchsia, hortensia, impatiences, laurier, mélisse, menthes, oseille, pensées, persil, pervenches, primevères, salades, saxifrages…
- en plein soleil : gazania, lavande, origan, pourpier, romarin, sédums, santoline, verveine…
- les pieds dans l’eau : menthe aquatique, mimulus, osier, papyrus…
… et garnissent vite un treillage : capucine de Lobb, concombre, haricots, melon, pois de senteur, tomates cerises, jasmin d’hiver, lierre, passiflore, chèvre feuille, houblon…
Bon à savoir
Un carnet de bord collectif permet d’informer les voisins impliqués dans le projet : travaux en cours, coups de main à donner, matériels ou graines à rechercher… Un planning affiché bien en vue permet également de répartir les différentes tâches (l’arrosage par exemple) au cours de la semaine ou pendant les congés.
Pour aller plus loin, retrouvez les documents dans la rubrique "Conseils, documents et autres ressources"
Pour aller plus loin une série de documents utiles à télécharger :
Le guide du jardinage Bio
Comment travailler la terre argileuse
Comment fertiliser les sols
Valoriser les déchets vert
Réduire sa consommation d’eau
Jardiner hors-sol
Des alternatives au désherbage chimique
S’inspirer de la permaculture
Utilisez des contenants simples pour vos plantations : pots en terre ou en plastiques, bacs en bois ou autres objets recyclés (bidons, seaux à charbons, tuyaux de cheminées…), sans oublier d’y ménager un trou au fond pour l’évacuation de l’eau.
Prévoyez un minimum de 20 cm de profondeur pour les plantes annuelles, bisannuelles, les légumes ou les vivaces à petit développement et d’au moins 40 cm pour des vivaces plus grandes, des plantes aromatiques ou des petits arbustes. Placez sur le fond, si possible, une couche d’argile expansée et un feutre de jardin, qui laissera passer l’eau mais retiendra la terre.
Jardiner hors-sol
Essayez-vous au jardinage en carrés : le module de base est un carré de 1,20 m de côté, subdivisé en petits carrés de 30 cm de côté, contenant chacun une culture. Les quantités cultivées sont faibles, le travail est facile, et le résultat est toujours attrayant ! Si l’espace disponible est restreint, on peut faire un carré de 90cm X 90cm, ou de 60cm X 60cm.
Le matériel nécessaire
La liste du matériel nécessaire est restreinte et peu onéreuse.
Prévoyez :
- une terre adaptée. Apportez de la terre de jardin. Vous devrez toutefois l’alléger et la rendre plus facile à travailler : un bon mélange peut être constitué de 30 % de terreau de feuilles, 20% de compost, 45% de terre, et 5% de billes d’argile expansée ou de vermiculite.
- de l’eau. Vérifiez que l’évacuation de l’eau en excès se fait bien, sous le robinet et sous les bacs de culture. Si la cour est sur dalle (il y a une cave en dessous), vérifiez qu’il n’y a pas de problème d’étanchéité. Vous arroserez peu mais souvent.
- des outils. Un transplantoir, un arrosoir, un couteau et… un panier pour les récoltes !
- du treillis. Un treillage solide monté sur un cadre permettra aux plantes grimpantes de se développer.
- des amendements et engrais organiques. Des plantes cultivées dans peu de terre demandent une nourriture riche. Utilisez des engrais naturels comme la poudre d’algues marines, la corne torréfiée, la poudre d’os, la farine de plumes… Et du compost en sacs, ou encore des engrais organiques liquides, à incorporer par petites doses.
Le choix des espèces
Privilégiez les espèces sauvages (régionales ou françaises) et les plantes utiles aux insectes afin de favoriser la biodiversité. La plupart des fruits, légumes et plantes aromatiques peuvent être cultivés, dans le cadre de l’agriculture urbaine, en jardinière ou dans des contenants recyclés.
L’association de certaines plantes préserve les cultures du potager de nombreux insectes indésirables ou ravageurs. Vous trouverez ci-dessous un lien vers une liste (non exhaustive) de plantes, avec leurs affinités et leurs antagonismes.
Suivant vos contraintes, certaines espèces sont plus adaptées
- avec peu de terre : basilic, betterave, mini-carottes, céleri-branche, chicorée frisée, chou de chine, coriandre, estragon, laitue à couper, mâche, origan, persil, poivron, radis, roquette, sauge…
- avec peu de lumière : bambous, bégonia tubéreux, bettes, laurier, céleris branches, cerfeuil, choux, ciboulette, cresson alénois, crocus, échalote, estragon, fougères, fuchsia, hortensia, impatiences, laurier, mélisse, menthes, oseille, pensées, persil, pervenches, primevères, salades, saxifrages…
- en plein soleil : gazania, lavande, origan, pourpier, romarin, sédums, santoline, verveine…
- les pieds dans l’eau : menthe aquatique, mimulus, osier, papyrus…
… et garnissent vite un treillage : capucine de Lobb, concombre, haricots, melon, pois de senteur, tomates cerises, jasmin d’hiver, lierre, passiflore, chèvre feuille, houblon…
Bon à savoir
Un carnet de bord collectif permet d’informer les voisins impliqués dans le projet : travaux en cours, coups de main à donner, matériels ou graines à rechercher… Un planning affiché bien en vue permet également de répartir les différentes tâches (l’arrosage par exemple) au cours de la semaine ou pendant les congés.
Pour aller plus loin, retrouvez les documents dans la rubrique "Conseils, documents et autres ressources"
Pour aller plus loin une série de documents utiles à télécharger :
Le guide du jardinage Bio
Comment travailler la terre argileuse
Comment fertiliser les sols
Valoriser les déchets vert
Réduire sa consommation d’eau
Jardiner hors-sol
Des alternatives au désherbage chimique
S’inspirer de la permaculture
Végétaliser les toits
Les toits-terrasses sont un lieu idéal pour l’installation d’un jardin
d’ornement ou d’un potager, pour la production de fruits, légumes et
plantes aromatiques. Les projets de végétalisation du bâti sont modulables et adaptables au site
et au budget qu’on souhaite y consacrer.
Ils présentent l’avantage de
réunir voisins ou habitants d’un même immeuble autour d’un projet
commun. Ils contribuent aussi à l’amélioration du cadre de vie et à la
préservation de la biodiversité urbaine.
La création d’une toiture végétalisée est intéressante à plus d’un titre. Elle contribue à réduire la consommation d’énergie et les nuisances sonores en tant qu’isolant thermique et acoustique. Les toitures végétalisées offrent également un abri et des ressources pour la faune : les plantes fournissent de la nourriture pour de nombreux insectes, des tiges pour y faire leur nid, des graines et des fruits pour les oiseaux, ou encore du pollen et du nectar pour les insectes pollinisateurs, comme les abeilles.
La mise en œuvre
La création d’une toiture végétalisée nécessite quelques modalités particulières lors de son installation afin de garantir le succès de votre réalisation. Vous trouverez toutes les informations utiles dans le guide des toitures et des murs végétalisés, que vous trouverez à la fin de cette rubrique.
Substrat en continu, bacs…de nombreuses solutions techniques s’offrent à vous !
L’installation d’une toiture végétalisée en substrat continu est classiquement faite en ajoutant une couche de drainage et une couche filtrante, puis le substrat et la végétation, en couches successives et continues au-dessus du complexe étanchéité-isolation.
Le substrat permet d’assurer l’ancrage des racines, mais aussi l’apport en eau, éléments nutritifs et l’aération du milieu de culture pour le bon développement des plantes. Classiquement, les substrats sont composés d’un mélange de matière organique (compost de déchets verts, tourbes, fibres végétales) et de granulats (roche volcanique, pouzzolane, pierre ponce, billes d’argile, tuile ou terre cuite concassée, ardoise pilée) La diversité de ces matériaux utilisés permet d’obtenir des solutions les plus légères pour limiter les charges.
Différents contenants peuvent être utilisés en toiture : jardinières, bacs, sacs souples, etc.. Ils présentent l’avantage de structurer l’espace (par exemple pour délimiter des zones de jardinage), et de permettre la végétalisation même sur de petites toitures. Cette solution permet aussi de répartir les charges ponctuellement sur la toiture (positionnement des bacs sur les structures portantes) et une hauteur de substrat plus importante. Le poids du contenant et du substrat qu’il contient doit toujours être pris en compte dans les calculs de charge.
La culture de plantes potagères ou de fruits peut se réaliser en substrat continu ou en contenants comme pour la végétalisation ornementale. D’autres techniques se développent sur les toits, spécifiques à cette culture productive (aquaponie, hydroponie,…)
- L’hydroponie est un système de production où les plantes sont cultivées sans le support d’un sol et nourries grâce à une solution nutritive (eau enrichie en éléments minéraux). Les racines sont sur un support inerte irrigué ou bien directement dans la solution.
- L’aquaponie est un système de production combinant aquaculture (élevage d’animaux aquatiques, souvent des poissons) et hydroponie (culture de plantes hors-sol).
- L’aéroponie est un système de production où les plantes sont cultivées sans le support d’un sol, avec les racines suspendues dans l’air et nourries par une solution nutritive par pulvérisation.
Les règles de sécurité
Les accès et les dispositifs de sécurité varient selon les types de toitures et selon la réglementation en vigueur. Il existe des normes françaises concernant les règles de sécurité et de protection contre les chutes (relatives aux dimensions des garde-corps, main-courante, plinthe de butée etc.). Vous trouverez tous les renseignements utiles dans la fiche 13 « réglementation nationale » du guide (p25)
Étanchéité
Avant toute nouvelle installation, il faut en premier lieu s’assurer du bon état du complexe étanchéité-isolation préalablement à l’opération de végétalisation. L’étanchéité doit être compatible avec la végétation (anti-racines). Vous trouverez tous les renseignements utiles dans le guide fiche 8 « caractéristiques techniques » (p19)
Accès
Les accès aux toitures peuvent être multiples : accès prévu initialement par escalier ou ascenseur, accès par échelle dite « à crinoline » (avec protection antichute), intérieure ou extérieure, accès par échelle inclinée et skydôme ou puits de lumière. Ces accès sont essentiels à prendre en compte dans la mise en place du
projet. Vous trouverez tous les renseignements utiles dans le guide fiche 13 « réglementation nationale » du guide (p25)
Eau
Les besoins en eau varient selon l’âge de l’installation, les plantes sélectionnées, les saisons, les conditions météorologiques locales et l’environnement de la toiture, et selon l’épaisseur et la composition du substrat. Un point d’eau est donc indispensable en toiture ou à proximité immédiate pour assurer un arrosage régulier ou ponctuel. Vous trouverez tous les renseignements utiles dans le guide fiche 7 « entretien » p18
Le choix des espèces et l’entretien
Le cahier technique élaboré par la Direction des espaces verts et de l’environnement rassemble des informations techniques sur les substrats (le support utilisé pour réaliser vos plantations) et les espèces végétales préconisées, à choisir parmi une sélection d’une centaine de plantes appartenant à des genres différents (plantes grasses, annuelles ou vivaces, fruits et légumes…). Le guide apporte également des informations sur l’entretien de la toiture (fiche 7 p 18).
Si dans certains cas l’entretien peut être très faible, il reste indispensable. Un minimum d’interventions doit être envisagé, en fonction des végétaux choisis, pour garantir les objectifs et la pérennité de la végétalisation. L’entretien doit être anticipé dès la conception de la toiture végétalisée ! Une bonne adéquation entre les végétaux, les conditions d’accès et les usages et objectifs de la toiture est indispensable pour un projet réussi !
Autre formalités et aides disponible :
Guide des toitures et murs végétalisées
Pour réaliser des aménagements favorables à la biodiversité : Guide "Le vivant dans le bâti"
Les principaux textes règlementaires nationaux et locaux, en rapport avec la végétalisation des toits, sont repris dans le guide (en particulier les fiches 13 et 14), téléchargeable ci-dessous. Vous y trouverez également des informations spécifiques concernant la règlementation en vigueur, en fonction du type de pente ou de structure porteuse du toit (béton, bois, métal), dans les fiches 9 à 12.
[Textes règlementaires]
Il existe aux niveaux national, régional et municipal des possibilités de subventions et des démarches à remplir :
Aides spécifiques sur Paris.fr
Plan 1000 immeubles
Pour toute information complémentaire, les conseillers de la Maison du Jardinage peuvent vous guider dans votre projet.
La création d’une toiture végétalisée nécessite quelques modalités particulières lors de son installation afin de garantir le succès de votre réalisation. Vous trouverez toutes les informations utiles dans le guide des toitures et des murs végétalisés, que vous trouverez à la fin de cette rubrique.
Substrat en continu, bacs…de nombreuses solutions techniques s’offrent à vous !
L’installation d’une toiture végétalisée en substrat continu est classiquement faite en ajoutant une couche de drainage et une couche filtrante, puis le substrat et la végétation, en couches successives et continues au-dessus du complexe étanchéité-isolation.
Le substrat permet d’assurer l’ancrage des racines, mais aussi l’apport en eau, éléments nutritifs et l’aération du milieu de culture pour le bon développement des plantes. Classiquement, les substrats sont composés d’un mélange de matière organique (compost de déchets verts, tourbes, fibres végétales) et de granulats (roche volcanique, pouzzolane, pierre ponce, billes d’argile, tuile ou terre cuite concassée, ardoise pilée) La diversité de ces matériaux utilisés permet d’obtenir des solutions les plus légères pour limiter les charges.
Différents contenants peuvent être utilisés en toiture : jardinières, bacs, sacs souples, etc.. Ils présentent l’avantage de structurer l’espace (par exemple pour délimiter des zones de jardinage), et de permettre la végétalisation même sur de petites toitures. Cette solution permet aussi de répartir les charges ponctuellement sur la toiture (positionnement des bacs sur les structures portantes) et une hauteur de substrat plus importante. Le poids du contenant et du substrat qu’il contient doit toujours être pris en compte dans les calculs de charge.
La culture de plantes potagères ou de fruits peut se réaliser en substrat continu ou en contenants comme pour la végétalisation ornementale. D’autres techniques se développent sur les toits, spécifiques à cette culture productive (aquaponie, hydroponie,…)
- L’hydroponie est un système de production où les plantes sont cultivées sans le support d’un sol et nourries grâce à une solution nutritive (eau enrichie en éléments minéraux). Les racines sont sur un support inerte irrigué ou bien directement dans la solution.
- L’aquaponie est un système de production combinant aquaculture (élevage d’animaux aquatiques, souvent des poissons) et hydroponie (culture de plantes hors-sol).
- L’aéroponie est un système de production où les plantes sont cultivées sans le support d’un sol, avec les racines suspendues dans l’air et nourries par une solution nutritive par pulvérisation.
Les règles de sécurité
Les accès et les dispositifs de sécurité varient selon les types de toitures et selon la réglementation en vigueur. Il existe des normes françaises concernant les règles de sécurité et de protection contre les chutes (relatives aux dimensions des garde-corps, main-courante, plinthe de butée etc.). Vous trouverez tous les renseignements utiles dans la fiche 13 « réglementation nationale » du guide (p25)
Étanchéité
Avant toute nouvelle installation, il faut en premier lieu s’assurer du bon état du complexe étanchéité-isolation préalablement à l’opération de végétalisation. L’étanchéité doit être compatible avec la végétation (anti-racines). Vous trouverez tous les renseignements utiles dans le guide fiche 8 « caractéristiques techniques » (p19)
Accès
Les accès aux toitures peuvent être multiples : accès prévu initialement par escalier ou ascenseur, accès par échelle dite « à crinoline » (avec protection antichute), intérieure ou extérieure, accès par échelle inclinée et skydôme ou puits de lumière. Ces accès sont essentiels à prendre en compte dans la mise en place du
projet. Vous trouverez tous les renseignements utiles dans le guide fiche 13 « réglementation nationale » du guide (p25)
Eau
Les besoins en eau varient selon l’âge de l’installation, les plantes sélectionnées, les saisons, les conditions météorologiques locales et l’environnement de la toiture, et selon l’épaisseur et la composition du substrat. Un point d’eau est donc indispensable en toiture ou à proximité immédiate pour assurer un arrosage régulier ou ponctuel. Vous trouverez tous les renseignements utiles dans le guide fiche 7 « entretien » p18
Le choix des espèces et l’entretien
Le cahier technique élaboré par la Direction des espaces verts et de l’environnement rassemble des informations techniques sur les substrats (le support utilisé pour réaliser vos plantations) et les espèces végétales préconisées, à choisir parmi une sélection d’une centaine de plantes appartenant à des genres différents (plantes grasses, annuelles ou vivaces, fruits et légumes…). Le guide apporte également des informations sur l’entretien de la toiture (fiche 7 p 18).
Si dans certains cas l’entretien peut être très faible, il reste indispensable. Un minimum d’interventions doit être envisagé, en fonction des végétaux choisis, pour garantir les objectifs et la pérennité de la végétalisation. L’entretien doit être anticipé dès la conception de la toiture végétalisée ! Une bonne adéquation entre les végétaux, les conditions d’accès et les usages et objectifs de la toiture est indispensable pour un projet réussi !
Autre formalités et aides disponible :
Guide des toitures et murs végétalisées
Pour réaliser des aménagements favorables à la biodiversité : Guide "Le vivant dans le bâti"
Les principaux textes règlementaires nationaux et locaux, en rapport avec la végétalisation des toits, sont repris dans le guide (en particulier les fiches 13 et 14), téléchargeable ci-dessous. Vous y trouverez également des informations spécifiques concernant la règlementation en vigueur, en fonction du type de pente ou de structure porteuse du toit (béton, bois, métal), dans les fiches 9 à 12.
[Textes règlementaires]
Il existe aux niveaux national, régional et municipal des possibilités de subventions et des démarches à remplir :
Aides spécifiques sur Paris.fr
Plan 1000 immeubles
Pour toute information complémentaire, les conseillers de la Maison du Jardinage peuvent vous guider dans votre projet.
Créer ou participer à un jardin partagé
Depuis 2002, la Ville de Paris encourage le développement de jardins
partagés dans toute leur diversité, qu’il s’agisse de jardins collectifs
d’habitants, de jardins à vocation solidaire éducative, sociale,
culturelle… ou autres.
Il est le fruit d’une création collective et
concertée impliquant l’ensemble des acteurs qui souhaitent s’investir
dans l’esprit du programme main-verte des jardins avec notamment une
ouverture au public et une gestion écologique.
Le jardin partagé est un
espace vert cultivé et animé par les habitants et les acteurs locaux
(associations, établissements scolaires, centres médicaux-sociaux…) d’un
quartier ou d’un arrondissement. C'est un lieu de vie ouvert dont
l’ambition est de favoriser les rencontres entre générations et entre
cultures.
Géré par des riverains regroupés en association, il facilite
les relations entre les différents lieux de vie du secteur et
participent à l’animation du quartier : écoles, maisons de retraite,
hôpitaux…
Que vous souhaitiez trouver ou créer un jardin partagé, vous trouverez toutes les renseignements sur la page dédiée.
Créer des jardins pédagogiques
Des vergers et des potagers pédagogiques peuvent être installés dans les écoles disposant de
suffisamment de place et d'ensoleillement.
Ils sont à la fois des lieux d’apprentissage et
d’initiation, de sauvegarde de variétés anciennes et de sensibilisation à
l’environnement, à la biodiversité et aux questions d’alimentation.
Jardinons la ville - Des pistes pour créer un jardin pédagogique
Vous avez des projets pour jardiner, avec ou sans
jardin, en intérieur ou en extérieur et vous souhaitez des conseils, des
astuces, des inspirations ? Quelle terre, quels outils et quel arrosage
? De graines en graines, boutures, marcottes, comment multiplier les
plantes ? Des conseils pour réaliser un jardin aquatique ? Toutes ces
informations sont précisées dans ce guide « Jardinons la ville ».
Consulter le guide "Jardinons la ville"
Si vous êtes enseignant ou responsable de structure d'accueil et que vous recherchez une aide à la création de jardin pédagogique, l'équipe de la Maison du jardinage est votre ressource privilégiée.
Parmi les 663 écoles maternelles et élémentaires de la capitale, plus de
575 d’entre elles disposent d’un potager pédagogique.
Des activités pédagogiques y sont organisées, sur le temps scolaire et périscolaire, par les enseignants et les animateurs, afin de sensibiliser les jeunes citadins aux enjeux de la biodiversité et de la ville durable.
Comment puis-je créer un jardin pédagogique dans mon école ?
Vous pouvez demander la création d’un jardin pédagogique à la Ville de Paris.
Lorsque votre projet pédagogique est validé par le chef d’établissement, celui-ci entre en contact avec la Ville en appelant le 3975 (prix d’un appel local).
Il demande les coordonnées de la division du service d’Exploitation des Jardins (Direction des Espaces verts et de l’Environnement) qui s’occupe de l’arrondissement de son établissement.
Il appellera ensuite cette division afin qu’une visite soit effectuée sur le site choisi pour étudier la faisabilité du projet.
Connaissez-vous les "petites mains vertes" ?Certaines écoles permettent aux enfants des écoles ou des centres de loisirs de jardiner, encadrés par les jardiniers de la ville.
En savoir plus, sur le dispositif et la charte "petites mains vertes" ( sur la page des jardins partagés de Paris.fr)
Autres ressources
Consulter la page L'arbre à Paris (Un verger dans mon école)
Consulter la page Des vergers dans les écoles
Télécharger Le guide du jardinage Bio
Pour toute information complémentaire, les conseillers de la maison du jardinage peuvent vous aider dans la création d'un jardin pédagogique.
Des activités pédagogiques y sont organisées, sur le temps scolaire et périscolaire, par les enseignants et les animateurs, afin de sensibiliser les jeunes citadins aux enjeux de la biodiversité et de la ville durable.
Comment puis-je créer un jardin pédagogique dans mon école ?
Vous pouvez demander la création d’un jardin pédagogique à la Ville de Paris.
Lorsque votre projet pédagogique est validé par le chef d’établissement, celui-ci entre en contact avec la Ville en appelant le 3975 (prix d’un appel local).
Il demande les coordonnées de la division du service d’Exploitation des Jardins (Direction des Espaces verts et de l’Environnement) qui s’occupe de l’arrondissement de son établissement.
Il appellera ensuite cette division afin qu’une visite soit effectuée sur le site choisi pour étudier la faisabilité du projet.
Connaissez-vous les "petites mains vertes" ?Certaines écoles permettent aux enfants des écoles ou des centres de loisirs de jardiner, encadrés par les jardiniers de la ville.
En savoir plus, sur le dispositif et la charte "petites mains vertes" ( sur la page des jardins partagés de Paris.fr)
Autres ressources
Consulter la page L'arbre à Paris (Un verger dans mon école)
Consulter la page Des vergers dans les écoles
Télécharger Le guide du jardinage Bio
Pour toute information complémentaire, les conseillers de la maison du jardinage peuvent vous aider dans la création d'un jardin pédagogique.
Végétaliser un mur
Plantes grimpantes comestibles (fruits, légumes) ou simplement belles ;
en pleine terre, en bac ou en étagère : les murs fournissent un support
de choix pour se lancer dans la culture verticale lorsqu’on ne dispose
que de peu de surface au sol. Facile à mettre en place et à entretenir,
un mur végétalisé réunit voisins ou habitants d’un même immeuble autour
d’un projet fédérateur. Il contribue aussi à l’amélioration du cadre de
vie et à la préservation de la biodiversité urbaine.
Outre son aspect décoratif, un mur végétalisé de « grimpantes » présente de nombreux avantages du point de vue de la biodiversité — qu’elle contribue à enrichir —, et de l’amélioration du cadre de vie pour les riverains et les habitants d’un immeuble résidentiel ou de bureaux. Les murs végétalisés contribuent au rafraîchissement de l’air en cas de fortes chaleurs, au confort phonique et thermique des bâtiments mais aussi à la dépollution de l’air, car les plantes fixent les particules fines à surface des feuilles.
La mise en oeuvre
Tous les types de murs ou de clôtures se prêtent à la végétalisation :les façades d’immeubles et les pignons aveugles sur cour ou sur rue,les grilles et grillages…
Le type de support (mur, grille, grillage, tuteur), l’exposition à la lumière, la possibilité d’effectuer des plantations en pleine terre ou au contraire en bac, la présence éventuelle d’un point d’eau, la fréquentation du site, la nature et l’état du mur… conditionnent le choix des plantes.
Documents utiles à télécharger :
Créer et entretenir un mur de grimpantes
Un lexique pour s'y retrouver
Le choix des espèces
Il existe deux catégories de murs végétalisés de grimpantes :
- Les murs végétalisés à l’aide de plantes grimpantes qui s’accrochent seules à la paroi avec leurs crampons ou leurs ventouses. C’est le cas du lierre et de la vigne vierge par exemple.
- Les murs végétalisés à l’aide de plantes grimpantes qui ont besoin d’un support. Certaines s’enroulent seules autour des grilles ou sur d’autres plantes, comme la passiflore bleue ou la clématite armandii.
D’autres comme le melon ou la tomate, par exemple, nécessitent d’être « palissées », c’est-à-dire attachées au support.
Plantes sur supports ou plantes autonomes ?
Privilégiez un support autoportant (bac et treillage par exemple) : il se suffit à lui-même, pour soutenir une grimpante et limite l’impact sur le mur (car elle ne s’y fixe pas directement). Il permet aussi de contrôler sa croissance : c’est l’assurance que celle-ci ne se développera pas au-delà du support.
Voici une série de documents utiles à télécharger :
Une sélection de plantes grimpantes autonomes
Une sélection de plantes grimpantes sur support
Une sélection de plantes grimpantes comestibles
Toitures et murs végétalisées
Le vivant dans le bâti
Tous les types de murs ou de clôtures se prêtent à la végétalisation :les façades d’immeubles et les pignons aveugles sur cour ou sur rue,les grilles et grillages…
Le type de support (mur, grille, grillage, tuteur), l’exposition à la lumière, la possibilité d’effectuer des plantations en pleine terre ou au contraire en bac, la présence éventuelle d’un point d’eau, la fréquentation du site, la nature et l’état du mur… conditionnent le choix des plantes.
Documents utiles à télécharger :
Créer et entretenir un mur de grimpantes
Un lexique pour s'y retrouver
Le choix des espèces
Il existe deux catégories de murs végétalisés de grimpantes :
- Les murs végétalisés à l’aide de plantes grimpantes qui s’accrochent seules à la paroi avec leurs crampons ou leurs ventouses. C’est le cas du lierre et de la vigne vierge par exemple.
- Les murs végétalisés à l’aide de plantes grimpantes qui ont besoin d’un support. Certaines s’enroulent seules autour des grilles ou sur d’autres plantes, comme la passiflore bleue ou la clématite armandii.
D’autres comme le melon ou la tomate, par exemple, nécessitent d’être « palissées », c’est-à-dire attachées au support.
Plantes sur supports ou plantes autonomes ?
Privilégiez un support autoportant (bac et treillage par exemple) : il se suffit à lui-même, pour soutenir une grimpante et limite l’impact sur le mur (car elle ne s’y fixe pas directement). Il permet aussi de contrôler sa croissance : c’est l’assurance que celle-ci ne se développera pas au-delà du support.
Voici une série de documents utiles à télécharger :
Une sélection de plantes grimpantes autonomes
Une sélection de plantes grimpantes sur support
Une sélection de plantes grimpantes comestibles
Toitures et murs végétalisées
Le vivant dans le bâti
La Maison du Jardinage
L'équipe de la Maison du jardinage vous guide à chaque
étape de votre projet. Ils sont à votre disposition et vous proposent
tout au long de l’année une programmation d’animation avec des ateliers
pratiques, des moments d’échanges, des retours d’expériences, des
conférences, les RDV du jeudi après-midi avec le jardinier du potager de
Bercy…
Maison du Jardinage - Pôle ressource Jardinage Urbain
41, rue Paul-Belmondo - Parc de Bercy
75012 PARIS
Métro
Cour Saint-Émilion, ligne 14 - Bercy, lignes 6 et 14
Velib
Station 12026, 61 rue de bercy
Station 12031, 49 rue gabriel lame
Station 905, gare de bercy
Bibliothèque de l'école Du Breuil
La bibliothèque de l'école Du Breuil est accessible à tout public.
L'école Du Breuil forme jeunes et adultes aux métiers du jardin et du paysage et propose des conférences et cours de jardinage ouverts à tous.
L'école Du Breuil forme jeunes et adultes aux métiers du jardin et du paysage et propose des conférences et cours de jardinage ouverts à tous.
Bibliothèque Du Breuil
École Du Breuil - École d’Horticulture de la Ville de Paris
75012 PARIS
Complément d'adresse
Entrée publique par les jardins de l'école Du Breuil : route de la Pyramide face à l'entrée de l'arboretum
Bus
Bus 112 - arrêt : Carrefour-de-Beauté
Bus 77 et 201 - arrêt : Ecole Du Breuil
RER
Joinville-le-Pont, ligne A
Métro
Château de Vincennes, ligne 1, puis Bus 112
Velib
Station 12125, pyramide entree parc floral
Station 12124, route de l'artillerie
Station 43006, 30 avenue des milimes
Devenez volontaire
Les Volontaires de Paris agissent concrètement pour le climat et la biodiversité
en jardinant à Paris. Ils jardinent aussi bien sur l’espace public,
grâce au dispositif du permis de végétaliser et grâce au réseau des jardins partagés, que
sur l’espace privé : installation de fermes urbaines sur les toits dans
le cadre des Parisculteurs, fleurissement des fenêtres et balcons,
installation d’arbres dans les cours d’immeuble via le dispositif des
arbres dans mon jardin, etc.
Pour vous engager sur les questions de végétalisation ou
d'environnement au sens large, vous pouvez devenir volontaire de Paris.
En vous inscrivant, vous pourrez sélectionner des sujets qui vous
intéressent, parmi lesquels la végétalisation, le climat, la propreté…
Conseils, documents et autres ressources
La chaine Youtube de l'Agence d'Ecologie Urbaine vous propose une mine de tutoriels crées par l'équipe de la Maison du Jardinage.
Retrouvez cette chaine en cliquant ici.
Retrouvez cette chaine en cliquant ici.
Outre le lien social et générationnel qu’il crée, un
jardin offre un plaisir inégalé : celui de pouvoir récolter et
consommer sa production de fruits et de légumes bio, tout en préservant
la biodiversité et les ressources naturelles.
Voici une série de documents utiles à télécharger :
Le guide du jardinage Bio
Comment travailler la terre argileuse
Comment fertiliser les sols
Valoriser les déchets vert
Réduire sa consommation d’eau
Jardiner hors-sol
Des alternatives au désherbage chimique
S’inspirer de la permaculture
Voici une série de documents utiles à télécharger :
Le guide du jardinage Bio
Comment travailler la terre argileuse
Comment fertiliser les sols
Valoriser les déchets vert
Réduire sa consommation d’eau
Jardiner hors-sol
Des alternatives au désherbage chimique
S’inspirer de la permaculture
Le semis est un mode de multiplication des végétaux
peu onéreux et accessible à tous. Il est possible de semer des fleurs,
des fruits, des légumes… En pleine terre ou en pot, en extérieur ou en
intérieur.
Télécharger : Un guide pour réaliser ses semis
Télécharger : Un guide pour réaliser ses semis
La plupart des fruits, légumes et plantes aromatiques peuvent être cultivés, dans le cadre de l’agriculture urbaine, en bacs ou en pleine terre. Privilégiez les espèces sauvages (régionales ou françaises) et les plantes utiles aux insectes afin de favoriser la biodiversité. Sachez par ailleurs que l’association de certaines plantes préserve les cultures du potager de nombreux insectes indésirables ou ravageurs : vous trouverez ci-dessous un lien vers une liste (non exhaustive) de plantes, avec leurs affinités et leurs antagonismes.
Voici une série de documents utiles à télécharger :
Une liste d’espèces préconisées pour vos projets
Les bonnes associations de plantes
Des alternatives bio aux produits phytosanitaires chimiques
Encourager la biodiversité animale
Votre avis nous intéresse !
Ces informations vous ont-elles été utiles ?
Attention : nous ne pouvons pas vous répondre par ce biais (n'incluez pas d'information personnelle).