L’olympiste Arena Bercy-Stade Tour Eiffel (par la rive gauche)

Cette balade, c’est une histoire de métro aérien. Sur près de 90 % de l’itinéraire, il n’y aura en effet qu’à suivre le tronçon extérieur de la ligne 6… Parfait pour se repérer ! Niveau sécurité, rien à craindre : la quasi-totalité des pistes du trajet est protégée par un petit terre-plein.

Le trajet démarre côté rive droite, au début du pont de Bercy, proche de l’Arena du même nom. Après avoir pédalé sur une piste bidirectionnelle siglée Paris 2024 (comme ça, impossible de se tromper !), on s’engage sur le boulevard Vincent-Auriol (13^e), direction la porte d’Italie (13^e). Sur le chemin, à l’ombre du métro, on prend le temps d’admirer les nombreuses façades d’immeubles recouvertes d’œuvres de street art typiques du 13^e arrondissement.

Après la place d’Italie (13^e) et son trafic toujours très dense, on s’engage sur le boulevard Auguste-Blanqui (13^e) dans un large couloir bus-vélo. Pas de panique, ce dernier se transforme rapidement en une piste protégée.

À partir de là, on se laisse porter par une légère descente jusqu’aux environs de la station de métro Corvisart (13^e). Puis il faut se remettre à pédaler sur environ 1,5 km pour atteindre la place Denfert-Rochereau (14^e) et son lion de cuivre si caractéristique.

Là, on suit les sigles Paris 2024 qui nous font longer le mythique cimetière du Montparnasse (14^e), dans lequel sont notamment enterrés Serge Gainsbourg, Jean-Paul Sartre ou encore Simone de Beauvoir. Arrivé au croisement avec l’avenue du Maine, on poursuit tout droit jusqu’à la belle place de Catalogne (14^e) et sa nouvelle forêt urbaine.

En repartant en direction du boulevard Pasteur (15^e), on pose le pied à terre au niveau de la rue du Château (14^e) pour admirer, au loin, la tour Eiffel (7^e). Après en avoir pris plein les yeux, on reprend sa route direction le boulevard Pasteur (15^e). Attention à bien freiner : la pente est douce, mais suffisante pour engranger beaucoup de vitesse !

Sur le chemin, au croisement avec la rue Lecourbe (15^e), on jette un coup d’œil sur la droite pour apercevoir le dôme doré des Invalides (7^e). Notre trajet se termine par une arrivée grandiose (mais périlleuse) sur le pont de Bir-Hakeim. Pourquoi ? Il faut rouler sous les arcades, admirer la vue et zigzaguer entre les mariés… Eh oui, le Stade Tour Eiffel (7^e), ça se mérite.