Yael Miller, compositrice fascinée par la voix et les synthétiseurs analogiques, explore les nuances de l’amour.
Chanté en hébreu, son nouvel album, navigue entre rencontres inattendues, relations d’amitié et amours éphémères. Sa voix se fond dans une orchestration de synthés, cuivres, basse et batterie, mêlant pop et musique orientale dans des ambiances planantes.
Yael Miller, voix, synthés, machines
Baptiste Germser, basse, bugle
Roland Merlinc, batterie, machines
À l’occasion de la sortie de Fairuz (Compagnie TVI-TVI et atelier gazelle)