Bagnole - À dire rien qu'être à quoi dire /
Concert /
Installation-concerts live prenant place dans cinq véhicules. Simultanément, au rythme d'une partition, une vingtaine de performeurs accumulent des vêtements de manière inattendue et parfois absurde.
Interrogeant notre
rapport à l’intime, la programmation du Générateur détourne certaines actions
quotidiennes comme écouter la radio dans sa voiture, s’habiller chaque matin. En
mettant en place un dialogue subtil entre la présence des corps en mouvement et
des concerts « encapsulés », Gabriel Hernandez et Cyril Leclerc
questionnent nos liens avec nos sens, le temps et la matière. Ces
actions pourtant opposées dans leur format, se transforment en une partition
fluide et plonge le public dans un microcosme multi sensoriel, onirique et
festif.
Pour clôturer la
soirée un set de musique live entraîne le public à danser sur ce dancefloor et
décor pseudo urbain !
• Bagnole
Musique
- Installation - Vidéo
Conception et mise en
scène : Cyril Leclerc
Bagnole
est une installation-concert live pour cinq voitures et autoradios. Les
voitures, garées dans différents recoins du Générateur, créent une scénographie
surréaliste, où le quotidien glisse vers un univers à la fois léger et étrange.
Dans chaque voiture se déroule un concert live d'une vingtaine de minutes dédié
à quelques spectateurs.
Un dispositif insolite et ludique qui permet une
rencontre privilégiée et intimiste entre le public et un musicien. Comme coupés
du temps, les cinq habitacles des véhicules de Bagnole favorisent une
écoute attentive et privilégiée du son.
Musiciens et musiciennes : Bertrand Larrieu, Elsa Michaud, Neige, DJ Reine, Zaraz Wam Zagram et AC/DJ
• À dire rien
qu’être à quoi dire
Performance
collective
Conception et mise en scène : Gabriel Hernandez
Conçue pour
un nombre illimité d’interprètes, la performance se déploie par vagues et de
façon aléatoire au milieu des 5 véhicules de l’installation de Cyril Leclerc
« Bagnole ».
En suivant
rigoureusement et à son propre rythme les instructions d’une partition imaginée
par Gabriel Hernandez, chaque performeur enfile, ôte, accumule vêtements de
manière inattendue et parfois absurde. Ils modifient leur fonction initiale qui
est de couvrir le corps, le cacher, le protéger, le parer.
Une façon
pour l’auteur de déjouer les codes d’une action banale qui pourtant est commune
à toutes et tous chaque jour.
La performance
prend fin lorsque chaque interprète est impeccablement vêtu.
Avec le soutien de la Métropole du Grand Paris.