Internet, les réseaux mobiles, les écrans, la télévision, les routeurs, les serveurs du Cloud, l’internet des objets consomment de l’énergie pour fonctionner, être transportés et installés. Il faut des matériaux (métaux, terres rares, eau, …) pour leur fabrication, dont les stocks exploitables diminuent. Pourtant, la croissance des usages et des débits, l’augmentation des performances (« loi » de Moore) qui accélère cette consommation de ressources naturelles, semble sans limite.
Pourtant aussi, les entreprises de ce secteur technologique affirment être « du bon côté », en permettant aux autres activités d’être plus décarbonées et plus respectueuses de l’environnement.
Ne sont-elles pas schizophrènes en promettant d’un côté des gains d’efficacité et de la croissance économiques, de l’autre en affirmant par exemple que « 1kg de CO2 généré par ses membres permet d’en éviter 10 dans d’autres secteurs ? » mais … avec quel étalon de mesure ?
Vaste sujet … pour lequel l’Institut de recherches économiques et sociales sur les télécommunications (IREST) s’attachera à aborder :
Participeront à cette table ronde :