Évènement
PROJECTION RENCONTRE La disparition des lucioles
Le samedi 15 mars 2025
Cet évènement fait partie de Le lieu comme personnage - La langue française mise à l'honneur dans les bibliothèques
Après la projection du film, nous vous proposerons d’échanger avec le réalisateur Vincent Marie et Gaétan Nocq, auteur de la bande dessinée "Les grands cerfs", adaptée du roman de Claudie Hunzinger.
La
Disparition des lucioles propose une immersion
dans les paysages des espaces ruraux à travers les œuvres dessinées de grands
auteurs français du neuvième art. En arpentant les routes d’une France rurale
en mutation, ces artistes, à travers tout un univers de formes, interrogent
les transformations profondes qui y sont actuellement à l’œuvre et la manière
de les représenter et de les raconter.
Avec la participation de : Etienne Davodeau, Aurélie Castex, Élise Gruau, Aurel, Gaétan Nocq, Claudie Hunzinger, Pascal Rabaté & Simon Hureau, Ainsi que Arnaud Froment, Xavier & Emmanuelle Braux
Credit
© Pascal Rabaté
le paysage est un personnage à part entière. Si je n'ai pas de lieu où j'inscris mon truc, j'ai du mal à croire à l'existence de mon récit"
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Avec la nature, m'extraire de moi-même, m'affranchir du genre humain, élargir mes sens …
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Et si on donnait à la Loire un statut non pas d'objet, mais le statut juridique d'une personne qui si on vient l'attaquer, serait apte à se défendre !
Credit
Gaétan Nock
Gaétan Nocq
Gaétan Nocq a sillonné le monde pendant vingt ans et et produit de multiples carnets de voyage dessinés sur le vif. Son expérience avec la
nature et le contact humain lui a permis de développer une expression puissante
du dessin et de la couleur. Expression qu’il insuffle désormais dans ses
albums.
Avec Les grands cerfs (adapté du roman éponyme de Claudie Hunzinger), il s’oriente sur le combat écologique. Dans ce roman graphique, Gaétan Nocq nous immerge dans les forêts vosgiennes et interroge la préservation de la vie sauvage aujourd’hui.
Le Rapport W a été finaliste au Grand prix de la critique ACBD 2020, prix Cases d’Histoire de la meilleure BD historique 2019. Les Grands cerfs : finaliste au Grand prix de la critique ACBD 2022, eprix du jury du Festival de Bassillac, prix BD-Nature du festival de Perros-Guirec.
Octopolis, son dernier album, est un pendant aux Grands cerfs. L’auteur nous sensibilise à la connaissance de l’extraordinaire diversité du monde sous-marin.
D’autre part, Gaétan Nocq a participé à différents documentaires sur la BD. Après « Nos ombres d’Algérie (Kanari Films / France Télévisions /TV5 Monde/ 2022), sort cette année « La disparition des lucioles » de Vincent Marie.
Avec Les grands cerfs (adapté du roman éponyme de Claudie Hunzinger), il s’oriente sur le combat écologique. Dans ce roman graphique, Gaétan Nocq nous immerge dans les forêts vosgiennes et interroge la préservation de la vie sauvage aujourd’hui.
Le Rapport W a été finaliste au Grand prix de la critique ACBD 2020, prix Cases d’Histoire de la meilleure BD historique 2019. Les Grands cerfs : finaliste au Grand prix de la critique ACBD 2022, eprix du jury du Festival de Bassillac, prix BD-Nature du festival de Perros-Guirec.
Octopolis, son dernier album, est un pendant aux Grands cerfs. L’auteur nous sensibilise à la connaissance de l’extraordinaire diversité du monde sous-marin.
D’autre part, Gaétan Nocq a participé à différents documentaires sur la BD. Après « Nos ombres d’Algérie (Kanari Films / France Télévisions /TV5 Monde/ 2022), sort cette année « La disparition des lucioles » de Vincent Marie.
Vincent Marie
Vincent Marie est né en 1977 à Saint-Malo. Il a fait de la bande dessinée son terrain d’études et de création. Titulaire d’un doctorat liant histoire et bande dessinée, commissaire d’expositions, directeur de publication, cet agrégé d’histoire enseigne aussi le cinéma et la sémiologie de l’image à l’Université de Montpellier 3.
Avec Bulles d'exil en 2014, il signe son premier documentaire sur les liens entre immigration et bande dessinée. En 2016, il explore à sa façon le centenaire de la Grande Guerre avec Là où poussent les coquelicots (Kanari Films, France 3 Lorraine). En 2019 il poursuit sa réflexion sur le passé visuel de l’histoire en réalisant un documentaire sur la Retirada intitulé Bartoli, le dessin pour mémoire (Les Films d’Ici Méditerranée, France 3 Occitanie).
Le chercheur n’est jamais loin de l’homme et de son envie de comprendre ses semblables : ses réflexions sur le génocide des Tutsis du Rwanda à travers l’œuvre Déogratias de Stassen ; ou encore ses études sur les contes mongols ou inuits donnent lieu en 2021 à des rencontres, des reportages sous la forme de carnets de voyage ou des documentaires. Pour 2022 et l’anniversaire des accords d’Evian, Vincent Marie termine pour France 3, un documentaire Vincent Marie Nos ombres d'Algérie dans lequel sont mis en scène des dessinateurs qui racontent leurs relations à la guerre d’Algérie d’une rive à l’autre de la Méditerranée. Son travail ressemble à une bibliothèque et une iconothèque bien garnie, toujours en évolution.
Avec Bulles d'exil en 2014, il signe son premier documentaire sur les liens entre immigration et bande dessinée. En 2016, il explore à sa façon le centenaire de la Grande Guerre avec Là où poussent les coquelicots (Kanari Films, France 3 Lorraine). En 2019 il poursuit sa réflexion sur le passé visuel de l’histoire en réalisant un documentaire sur la Retirada intitulé Bartoli, le dessin pour mémoire (Les Films d’Ici Méditerranée, France 3 Occitanie).
Le chercheur n’est jamais loin de l’homme et de son envie de comprendre ses semblables : ses réflexions sur le génocide des Tutsis du Rwanda à travers l’œuvre Déogratias de Stassen ; ou encore ses études sur les contes mongols ou inuits donnent lieu en 2021 à des rencontres, des reportages sous la forme de carnets de voyage ou des documentaires. Pour 2022 et l’anniversaire des accords d’Evian, Vincent Marie termine pour France 3, un documentaire Vincent Marie Nos ombres d'Algérie dans lequel sont mis en scène des dessinateurs qui racontent leurs relations à la guerre d’Algérie d’une rive à l’autre de la Méditerranée. Son travail ressemble à une bibliothèque et une iconothèque bien garnie, toujours en évolution.
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Mise à jour le 17/01/2025
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