Engagée pour l'environnement

Pour les œuvres nécessitant de l’énergie, le réseau électrique local est privilégié en lien avec les services compétents. Quand cela n’est pas possible, Nuit Blanche privilégie l’utilisation de groupes électrogènes alimentés par biocarburants.

La production de Nuit blanche limite les emballages et mutualise les transports de matériaux. Les déchets sont recyclés via le système de tri de la Ville de Paris. Une analyse des déchets enlevés (poids et pourcentage recyclé) est effectuée.

Les équipements et matériels sont majoritairement loués ou prêtés par des services de la Ville de Paris ou des associations. La majeure partie des scénographies créées est redonnée à des écoles ou des associations, ou réemployée via le circuit de la Réserve des Arts ou par les artistes eux-mêmes. Le mobilier de signalétique conçu pour les projets emblématiques de Nuit Blanche en 2023 sera réutilisé pour les prochaines Nuits Blanches, mais aussi pour différents événements de la Ville de Paris.

Le public est encouragé à utiliser les transports en commun et les mobilités douces, disponibles sur l’ensemble de la manifestation, à l’échelle métropolitaine (Métro, RER, Noctilien, Vélib’ Métropole). Les équipes de production utilisent les transports en commun et les mobilités douces. Pour la production de la manifestation (location de matériel, fabrication d’éléments, etc.), des prestataires parisiens ou franciliens sont privilégiés afin de limiter les transports longue distance.

Nuit Blanche 2023, par la thématique choisie, évoque notre monde en mutation. Les projets artistiques investissent le fleuve, les rives de Seine et les canaux, ainsi que de nombreux espaces naturels de la ville. Les œuvres révèlent la nature, la transforment et l’illuminent. Par ailleurs, l’Académie du Climat prend part à la manifestation en accueillant plusieurs artistes aux discours engagés en matière environnementale.